En faisant ce reportage pour Green GT, je me suis retrouvé en terrain connu. Cependant, le but n’était pas de se remémorer les années d’études et de travail en laboratoire, mais bien de documenter une société pionnière dans le domaine des piles à combustible avec des véhicules fonctionnels, aussi bien pour les voitures de compétition que pour le transport de marchandise.
Table des matières
Résultats du reportage photo
C’est avec leur accord que je partage ces photos. Certaines photos contenant des secrets commerciaux, elles restent sous le contrôle exclusif de GreenGT.
Impératifs pour les photographies
Il fallait faire un ensemble d’images pouvant être utilisés autant sur les réseaux sociaux et web que sur des stands sous forme de bannières ou de flyers. J’ai donc opté pour des résolutions extrêmes au moyen-format permettant l’impression de posters si nécessaire. Comme il s’agissait d’un style reportage, j’ai réalisé les photos sans trépied pour gagner en flexibilité et en rapidité. Il était également nécessaire de réaliser des photos où les personnes n’étaient pas facilement reconnaissable, autrement la gestion des droits à l’image devient rapidement complexe.
Durant tout le reportage, un manager de GreenGT était présent pour que nous puissions discuter de chaque scène et de la meilleure manière de la représenter. En effet, l’un des dangers quand un peu de mise en scène est nécessaire est d’avoir des incohérences. Il suffit parfois d’un petit détail pour que la photo soit à mettre à la poubelle. Ceci a rendu le reportage très efficace car les photographies ne devaient pas être constamment doublées ou triplées.
Défis de ce reportage
Comme pour tout reportage, il est important de garder un ensemble cohérent tant en terme de luminosité que de couleur. Mais quand il s’agit de mélanger de la lumière naturelle et artificielle, il devient crucial d’avoir un traitement correct de chaque image. J’ai décidé de ne pas ajouter de flash car ceci m’aurait ralenti même si le traitement aurait pu en devenir plus simple.
